Quand autoriser la libération 🔓

La période de rodage : l’accoutumance à la cage

Avant de pouvoir vous engager dans la chasteté masculine, vous devez trouver un dispositif de chasteté confortable, sûr et hygiénique. Votre mari doit pouvoir le porter pendant de longues périodes. Peut-être que votre mari a déjà un dispositif ou peut-être que vous devrez en acheter un ensemble. Dans tous les cas, vous devez vous assurer que le dispositif est adapté à un port prolongé et que la taille est correcte.

Lorsqu’il essayera la cage, il devra la porter pendant une heure seulement. Vous voulez vous assurer qu’elle est aussi confortable que possible. Si c’est un succès, commencez une routine quotidienne d’une semaine durant laquelle il portera le dispositif de chasteté pendant quatre heures. Pas une fois de temps en temps, pas un jour par semaine, mais tous les jours, même s’il n’en a pas envie. Il y a deux objectifs ici. Le premier est d’éviter que la présence du dispositif de chasteté n’excite l’homme. L’autre est de trouver la bonne taille, qui sera beaucoup plus petite que celle que vous pensiez initialement être trop serrée.

Ensuite, faites-lui le porter tous les jours du réveil jusqu’au coucher pendant une semaine, sans pauses ni excuses. Là encore, l’objectif est de réduire constamment la conscience du dispositif de chasteté. Pendant cette période, vous devrez peut-être utiliser un tube ou un anneau plus petit. Ensuite, laissez-le dormir avec. Vous constaterez peut-être qu’il a besoin de quelques nuits pour s’habituer à cause de ses érections nocturnes.

La chasteté expérimentale

Une fois cette première étape franchie, et si la cage ne lui pose aucun problème, essayez pendant 3 jours consécutifs. Ensuite, accordez-lui une pause d’une journée entière histoire qu’il recommence à zéro avant d’essayer pour 5 jours. Si c’est un succès, accordez-lui une pause de 2 jours avant d’essayer une semaine entière.

La chasteté pour de vrai

Félicitations, maintenant que vous avez traversé la période de rodage, il est temps de faire monter les enchères. C’est une chose de simplement expérimenter la chasteté masculine, mais c’en est une autre de commencer à l’utiliser pour de bon, comme votre mari sera sur le point de le découvrir ! À ce moment, il est très amusant de signer un “contrat de chasteté” avec votre mari.

Un conseil que l’on peut lire un peu partout sur internet est de commencer petit et de progresser lentement. Afin de trouver la durée idéale, vous devez essayer différentes périodes. Le processus est d’augmenter lentement sa période d’attente, en commençant peut-être par dix jours. S’il demande pourquoi, dites-lui que vous aimez la façon dont il se comporte lorsqu’il est enfermé et que cela vous rend très heureuse. Faites-le une ou deux fois, puis augmentez à deux semaines. Observez les résultats et augmentez encore le temps d’attente jusqu’à trouver la durée idéale pour vous. Au fur et à mesure que vous acquérez de l’expérience et de l’endurance pour les longs verrouillages, fixez-vous de nouveaux objectifs.

La période initiale de verrouillage

Une autre approche plébiscitée par un certain nombre de couples et d’hommes pratiquant l’autoverrouillage, consiste à commencer par une longue période initiale de verrouillage. Elle devrait être d’au moins trois à six mois de port continu sans soulagement. Pendant cette période, la cage de chasteté ne doit pas être enlevée, pas même pour les rapports sexuels. Cela peut sembler un peu dur, mais c’est primordial pour votre réussite. Être sans orgasme pendant une longue période est une chose. Être sans érection pendant une longue période est très perturbant. La combinaison est puissante à mon avis. Cela permet à son corps et à son esprit de s’adapter à l’absence de masturbation et en quelque sorte de “reformater le disque dur de votre homme”.

La durée initiale sera à ajuster au cas par cas et selon vos désirs ou vos besoins. Pour un homme et excité qui à l’habitude de se masturber quotidiennement, deux mois peuvent sembler un peu juste. Dans ce cas, il peut-être judicieux de songer directement à trois ou quatre mois. De même, pour un homme plus âgé, et en fonction de sa libido, il n’est pas déraisonnable d’envisager un an. Quel que soit votre choix, il faut lui faire savoir que son verrouillage sera long sans lui donner de délai précis. Vous pouvez lui dire quelque chose comme : « Ne vois pas cela comme des mois de chasteté, mais plutôt comme des mois de longs préliminaires ». L’important est de vous assurer que la décision de la durée de la période initiale de verrouillage vous appartient.

La plupart des hommes résisteront pendant de plus courtes périodes de déni et reviendront à leurs anciennes habitudes de masturbation et de fantasmes sur d’autres femmes une fois que vous leur aurez permis d’avoir un orgasme et ils s’attendront à de futurs orgasmes sur une base régulière. Alors qu’un long verrouillage initial lui indique que vous êtes engagée dans votre relation et qu’une fois qu’il vous aura remis les clés, il n’y aura pas de retour en arrière. Vous aurez mis un terme définitif à ses jours de masturbation dans votre dos. Au lieu de se faire plaisir quand il le veut, il s’attachera à vous faire plaisir quand vous le voulez et comme vous le voulez. Si votre mari renonce d’abord à son souhait d’être mis en chasteté face à un enfermement aussi long, c’est qu’il n’est pas encore prêt à vous céder le contrôle. Ne le poussez pas, mais rappelez-lui gentiment, chaque fois qu’il aborde le sujet de la chasteté, que vous ne le ferez qu’à vos conditions. Lorsqu’il accepte, il est prêt.

Vous devrez être forte et respecter votre part du marché. Vous pouvez même, à son insu, garder la clé ailleurs, par exemple sur votre lieu de travail ou chez une amie, afin de ne pas être tentée de la déverrouiller. En imposant une période de verrouillage initiale, vous lui permettrez de comprendre votre désir, votre engagement et votre détermination. Cela vous donnera également la possibilité de développer la force de dire “non”.

S’il n’est pas du tout coopératif pendant cette période, vous devriez ajouter du temps supplémentaire à son verrouillage. Je me souviens d’un jeune couple, Charlotte, 26 ans, et de son copain, 27 ans. Nous avons longuement discuté ensemble et je me suis retrouvée à les conseiller sur la façon d’introduire la chasteté masculine dans leur couple. Pour la période initiale, malgré mes recommandations, elle avait décidé d’une durée de deux mois. Finalement, peu de temps après la fin de leur période initiale, il est revenu dans ses mauvais travers.

Vous ne pouvez pas être trop stricte en ce qui concerne la période initiale d’enfermement si vous voulez atteindre le triple objectif d’être à l’aise avec le fait d’être en charge, de dépasser le sentiment que c’est votre devoir de le faire jouir et de le faire se concentrer sur son nouveau rôle de vous faire plaisir sexuellement. Cependant, si vous n’avez pas atteint ces objectifs, alors prolongez la durée.

Pour leur seconde tentative, la durée initiale était fixée à quatre mois, et cette fois leur contrat d’engagement à la chasteté masculine prévoyait une clause de revoyure qui lui permettais de l’entendre jusqu’à huit mois au total. Elle a fini par donner à son copain une prolongation d’un mois, puis une seconde de deux mois lorsqu’elle en a eu assez qu’il lui dise qu’il “devait” venir. Rétrospectivement, ils sont tous les deux heureux qu’elle ait ajouté ce temps supplémentaire. Quand elle l’a finalement laissé sortir, c’était à ses conditions.

Vous aussi, vous avez besoin de suffisamment de temps pour explorer comment faire en sorte que sa chasteté fonctionne au mieux pour vous. Au début, Charlotte comptait les jours jusqu’à ce qu’elle puisse à nouveau avoir des rapports sexuels avec son copain, alors elle a commencé à expérimenter et à réfléchir à la manière de lui apprendre à lui donner du plaisir sans avoir besoin de le déverrouiller ou sans craindre qu’il éjacule accidentellement. Lorsque vous y parviendrez, vous aurez changé la dynamique de votre relation d’une manière qui vous mettra, vous et lui, sur la voie du bonheur à long terme. Il peut utiliser sa bouche, ses mains et divers jouets sexuels sur vous. Je vous encourage à tout essayer.

C’est ce que Charlotte a fait lors de leur seconde tentative. Elle demandait à son copain de lui faire un cunnilingus tous les soirs pendant la période de chasteté initiale, lorsqu’ils ne pouvaient pas avoir de relations sexuelles normales. Au bout de peu de temps, elle a appris à atteindre facilement l’orgasme à partir d’une stimulation orale et a maintenant plus d’orgasmes que jamais, peut-être grâce aux compétences orales améliorées de son copain ou parce qu’elle est devenue plus détendue maintenant que le sexe est principalement axé sur son plaisir.

À la fin de sa période de confinement initiale, je vous assure que vous pouvez lui faire vivre une expérience comme il n’en a jamais connu, c’est une récompense pour le couple. Lorsque vous le laisserez enfin jouir, ce sera presque trop pour son corps.

Trouver un calendrier de libération qui vous convient

Une fois que vous lui avez permis de jouir pour la première fois, c’est à vous de décider du nombre d’expériences sexuelles que vous autorisez, de la manière dont elles se déroulent et de la façon dont l’éjaculat est éliminé. Mais à quelle fréquence doit-il être autorisé à jouir après la période de verrouillage initiale ? Il existe plusieurs points de vue différents. Quel que soit le système que vous choisissez, il est judicieux de se demander s’il ne serait pas préférable d’aller plus longtemps.

Les libérations programmées

Certaines des jeunes femmes dont le petit ami ou le mari a une vingtaine d’années les laissent avoir un orgasme environ une fois par semaine. Il est probable qu’ils se masturbaient quasi quotidiennement, donc une fois par semaine semble être une grosse réduction.

Encore une fois, c’est à vous de décider, mais voici quelques lignes directrices. Sachez qu’il lui faudra généralement au moins deux semaines pour ressentir tout l’impact de la chasteté. Donc, si vous le déverrouillez avant, il va rebondir comme un yoyo et ne s’installera jamais dans la chasteté. Cela signifie que vous ne goûterez jamais jamais à ses aspects les plus juteux de la chasteté et que vous en verrez moins les bienfaits. En sommes, toute période inférieure à deux semaines est une perte de temps pour le couple.

Il se peut que vous l’autorisiez à jouir une fois par semaine. Cependant, ce qui peut être amusant, c’est de le faire patienter soudainement une semaine de plus à chaque fois. Sans lui dire, votre plan, cela augmentera sa nervosité quant au moment où vous allez arrêter d’augmenter son attente.

Vous pouvez ensuite, après avoir atteint la période d’un mois, revenir à 2 semaines, puis revenir à un mois. Ensuite, passez à 6 semaines, avant de passer à 4 semaines. Vous pouvez ensuite, après avoir atteint la période d’un mois, revenir à 1 semaine, puis passer à 5 semaines. Ensuite, passez à 4 semaines, avant de passer à 6 semaines. Vous pouvez continuer à jouer de cette façon ou passer à un planning mensuel. En fin de compte, vous devrez expérimenter et faire ce qui fonctionne le mieux pour vous.

Ratio d’orgasme

Certaines femmes aiment penser à la fréquence des orgasmes de leur mari comme une petite fraction du nombre d’orgasmes qu’elles obtiennent. Un rapport de dix pour un, vingt pour un ou cinquante pour un sont populaire. Mais vous pouvez choisir le nombre qui vous convient le mieux et qui permet d’espacer les orgasmes.

Fixez un objectif

D’autres femmes aiment fixer à leur mari des objectifs qui leur permettent d’obtenir un orgasme si le but est atteint. Par exemple, l’une des femmes avec qui j’ai longuement échangé voulait que son mari perde du poids. Alors, elle lui a annoncé qu’il ne sortirait plus qu’une fois par an. Toutefois, elle lui accorderait deux minutes hors de la cage, pour une petite branlette, chaque mois s’il perdait 2 kilos. En revanche, s’il n’atteignait pas son objectif, sa branlette ainsi que celle du prochain passait à la trappe. À la fin de l’année, il avait perdu vingt kilos et obtenu 5 orgasmes supplémentaires. Elle était tellement ravie des résultats qu’elle lui a permis, exceptionnellement, de lui faire l’amour en la pénétrant. Peut-être que votre mari pourrait-il devenir plus en forme, plus mince ou plus musclé avec la bonne motivation, lui aussi ?

Libérations arbitraires

Vous avez peut-être discuté des règles, des arrangements, du calendrier, etc. avec votre mari. Oubliez-les, à l’exception des règles que vous souhaitez. Vous, la keyholdeuse, pouvez inventer de nouvelles règles. C’est vous qui décidez quand il peut éjaculer. Il y aura un moment où la question se posera : « combien de temps avant que je puisse jouir ». La réponse à cette question est : « Écoute, Gustave, je pensais que demain nous pourrions…, mais tu viens de te payer une semaine de plus, mon pote. » Pas de calendrier, pas de conditions. Même si, pour une raison quelconque, vous lui avez promis un orgasme, vous restez toujours maîtresse de la situation et pouvez toujours décider spontanément de retarder sa libération.

Restez imprévisible

Même si vous utilisez l’un des schémas les plus prévisibles où il peut "gagner" sa libération, ne laissez jamais votre homme développer la conviction qu’il obtiendra sa libération. Les premières fois qu’il gagne son droit de sortir de la chasteté, acceptez-le. Mais, à un moment donné, dites-lui que vous avez changé d’avis : cette fois, il ne sera pas libéré. Vous ne trichez pas en faisant cela. Au contraire, vous rétablissez les règles de base, dont la plus importante est que vous avez le contrôle. Peu importe à quel point il pense mériter un orgasme, vous avez toujours le droit de le lui refuser si vous le souhaitez., pour quelque raison que ce soit et sans avoir à vous justifier.